Comment économiser de l’électricité en cuisine en optimisant la ventilation avec l’Air Kontrol Système AKS ?
Le saviez-vous : plus de 30 % de la consommation électrique d’une cuisine est liée…. à sa ventilation. Savez-vous que dans 94% des cas c’est le poste qui provoque les surfacturations ?
Chez RSW, forts de notre expérience dans le milieu des cuisines et restaurants, nous avons conçu une solution innovante pour vous permettre de réaliser jusqu’à 50% d’économies d’énergie annuelles sur ce poste ventilation.
Nos clients nous le confirment : mettre en place le système AKS (Air Kontrol System), c’est un gain financier immédiat, une sécurité pour l’exploitation et la satisfaction de ne plus gaspiller d’énergie électrique.
1. Le chauffage de “compensation” nécessaire à la qualité de la ventilation mais lourd en coûts financiers
Le chauffage de compensation est directement lié à la nécessité de ventiler les espaces de cuisson par les hottes. Détaillons ensemble ce principe pour comprendre comment RSW vous propose le système économique, robuste et fiable à contre-courant des solutions classiques des cuisines de restaurants et cuisines collectives.
1.1 Principe de base : il faut compenser et réchauffer l’air extrait
Dans toutes les cuisines professionnelles et les restaurants, l’air doit rester sain, sans condensation, désaturé des graisses et des odeurs. C’est par l’extraction de la hotte que cela se produit. Or, pour respecter l’équilibrage des pressions, chaque volume d’air extrait est simultanément compensé par son volume équivalent provenant de l’extérieur. Enfin pour éviter la condensation et l’inconfort des salariés en période de grand froid, cet air neuf est lui aussi chauffé avant d’être introduit dans l’établissement.
1.2 Jusqu’à 30 % du poste électricité des cuisines et restaurants
C’est ce mécanisme, géré par une centrale de compensation, qui pèse en hiver pour environ 30% de la consommation électrique des postes de cuisines professionnelles.
2. L’AKS identifie vos besoins réels et supprime le gaspillage
2.1 Agir sur le débit et la durée
Les 3 principaux facteurs qui influencent la consommation en énergie d’une centrale de compensation sont le différentiel entre la température extérieure versus la température intérieure, le débit d’air (air neuf) et la durée de ventilation. Le système AKS contrôle le débit d’air extrait et la durée de ventilation (oui nous ne pouvons rien faire sur le temps qu’il fait).
2.2 Créer un lien entre l’activité des consommateurs et la ventilation nécessaire
L’AKS traduit les consommations électriques des appareils polluants en besoins d’extraction.
Ainsi, sans aucune action sur vos appareils nous savons exactement ce qui se passe et quel consommateur fonctionne ou non. C’est traduit en besoin d’extraction utile. La hotte n’est plus en fonctionnement continuel, comme cela se pratique usuellement dans les cuisines.
Enfin nous ne nous basons pas sur des éléments de mesures comme les sondes ou autres capteurs qui peuvent être défectueux sans que personne ne s’en aperçoive. Les algorithmes de l’AKS déterminent de manière dynamique les besoins de ventilation de l’activité en cours de fonctionnement, en réduisant de près de 50% les besoins d’énergie. Il n’y a plus de gaspillage d’extraction. Le chauffage de compensation est alors le parfait reflet des besoins d’air nécessaires.
2.3 Une installation simple et pilotable sans intrusion
Il n’y a aucune intrusion dans les équipements et infrastructures. C’est ce que montre le schéma ci-dessus. En fonction du comptage, et grâce à notre connaissance des consommateurs, l’AKS régule la hotte à son niveau optimum de débit d’air manageant ainsi le chauffage de compensation.
C’est à ce jour le système le plus fiable du marché pour générer des économies sur vos factures d’électricité en exploitant la ventilation des cuisines professionnelles.
Si vous souhaitez une explication détaillée du fonctionnement de l’AKS et savoir si cela s’adapte à votre activité, contactez le commercial de votre secteur.
3. Suivre ses consommations pour éviter d’autres dérives
Comme toujours chez RSW, le suivi est au cœur de notre démarche, surtout dans une cuisine dont la ventilation est directement liée à l’action des équipes. Trop souvent, cette dernière est enclenchée à 100% dès l’arrivée du personnel et il n’est pas rare qu’elle soit oubliée le soir ou les weekends. Grâce à l’AKS, vos équipes sont secondées et n’ont plus à se soucier de cette charge supplémentaire.
L’AKS mémorise en continu ses mesures dont les principales données sont :
- les consommations électriques des appareils « polluants »
- les besoins du débit d’air théorique
- les consommations théoriques et réelles du poste ventilation
- les actions de l’Optiwatteur AKS
- le niveau du signal de régulation transmis (débit d’air)
4. Les atouts de l’AKS pour votre activité
Vous l’aurez compris nous avons conçu l’optimiseur AKS à contre-courant des systèmes existants et c’est ce qui en fait l’innovation majeure du secteur de l’économie d’électricité dans le secteur cuisine et restauration.
ROBUSTE parce qu’aucun élément n’est soumis aux graisses, vapeurs et autres situations éprouvantes pour les installations.
FIABLE parce que la traduction algorithmique de vos consommateurs en besoins d’extraction est notre savoir-faire.
ECONOMIQUE parce que l’installation est simple, non invasive et que la technologie est éprouvée depuis des années.
RENTABLE parce que nous diminuons jusqu’à 50% le poste ventilation des cuisines professionnelles et restaurants que nous équipons.
PILOTABLE parce qu’il est possible, depuis un bouton de télécommande ou depuis la supervision, de déroger aux automatismes de l’AKS comme par exemple booster temporairement la ventilation.
C’est une approche imparable et c’est aussi ce qui la rend la plus souple du marché. Pour découvrir les résultats concrets lire “AKS quels résultats en courbes et en euros ?” .
“Fini le gaspillage d’air extrait sans lien avec les besoins réels de ce qui se passe dans votre cuisine et votre restaurant. On extrait ce qui est utile et donc on réchauffe la juste quantité d’air. C’est rentable économiquement avec un retour sur investissement moyen de 30 mois, et responsable sociétalement.”